Blog sur le monde vers 2030, société, technologie, economie, politique, architecture, energie, demographie, inteligence artificielle, robots, réseaux sociaux, big data.
Le Schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif) est un projet d’aménagement durable qui concerne tous les Franciliens.
À quoi ressemblera l’Île-de-France de 2030 ?
Démographie, logement, emploi, activité économique, transport collectif, loisirs, protection et valorisation des espaces naturels… transforment le territoire, les pratiques et les usages des Franciliens.
Pour répondre aux aspirations individuelles et collectives, présentées dans le préambuleÎle-de-France 2030 - Vision régionale, la Région Île-de-France a élaboré, dans le cadre de sa compétence aménagement, un schéma de planification et d’organisation de l’espace régional à l’horizon 2030.
Le Schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif) est un document d’aménagement qui expose les défis auxquels sont confrontés la société et le territoire franciliens, et énonce un projet spatial régional pour les relever. Pour que ce projet prenne corps, au-delà de l’application de règles d’urbanisme renouvelées, une programmation et des propositions de mise en œuvre y sont attachées. LeSdrifest également un document « anticipateur » qui évalue les incidences du projet d’aménagement sur l’environnement, et propose des ajustements afin de les éviter, les réduire, ou les compenser en l’absence d’autre solution.
LeSdrifa été élaboré par la Région Île-de-France en association avec l’État. Il tient compte des contributions des départements, du Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser), de l’autorité environnementale et des chambres consulaires, mais aussi des résultats d’une vaste concertation en direction des élus franciliens, des aménageurs, des chercheurs et experts, et des Franciliens, notamment à traversl’enquête publiqueconduite entre mars et mai 2013. Le Sdrif a été adoptéle 18 octobre 2013pardélibération du conseil régional d’Île-de-France N° CR 97-13(pdf - 4,8 Mo), et approuvé pardécret en Conseil d’État n° 2013-1241(pdf - 76 Ko)du 27 décembre 2013.
Une région métropolitaine compacte, multipolaire et verte
L’Île-de-France est confrontée à plusieurs défis : combattre des fractures sociales et territoriales accrues qui se traduisent par des inégalités dans l’accès au logement, à l’emploi, aux équipements, à la mobilité, aux espaces verts ; anticiper la transition énergétique et préserver les ressources naturelles ; renforcer et diversifier l’économie pour maintenir son rayonnement mondial, au service des Franciliens et de leur territoire.
Conjuguant ces enjeux, le projet spatial régionalÎle-de-France 2030 - Défis, projet spatial régional et objectifspromeut la solidarité et l’attractivité dans le respect des ressources territoriales. Cette vision stratégique de la région Île-de-France à l’horizon 2030 repose sur trois piliers :
relier-structurer : le réseau de transports collectifs francilien s’enrichira de nouvelles dessertes pour une meilleure accessibilité ;
polariser-équilibrer : des bassins de vie multifonctionnels polariseront le territoire ;
préserver-valoriser : la consommation d’espaces naturels sera limitée et les continuités écologiques seront préservées.
Pour une mise en œuvre partenariale et territorialisée des objectifs stratégiques régionaux
LeSdrifa une portée normative : dansÎle-de-France 2030 - Orientations réglementaireset sur lacarte de destination généraledes différentes parties du territoire , il traduit dans le droit des sols la stratégie du projet spatial régional. La carte à l’échelle du 1/150.000eassigne des vocations (« espaces agricoles, naturels et boisés à protéger » ou « localisation préférentielle des développements urbains », etc.) à des espaces, dans le respect du principe de subsidiarité : il incombe aux documents d’urbanisme (SCoT,PLU, ou document en tenant lieu) de préciser les limites de ces espaces et des éléments représentés symboliquement sur la carte.
Dans l'annexeÎle-de-France 2030 - Propositions pour la mise en œuvre du Sdrifsont décrits divers dispositifs possibles pour réaliser le projet spatial : sont ainsi présentés une programmation pour la mise en chantier des projets de transport, des équilibres logement/emploi à atteindre pour une plus grande mixité à l’échelle régionale et locale, des interlocuteurs avec qui construire des partenariats et des contractualisations… Organisée en quatorze territoires d’intérêt métropolitain couvrant toute la région et s’ouvrant vers des coopérations interrégionales, une géographie stratégique est proposée comme cadre cohérent de l’intervention publique.
Île-de-France 2030 - Évaluation environnementaleintroduit des indicateurs et des méthodes permettant de mesurer l’atteinte des objectifs, et de suggérer le cas échéant des ajustements des actions de mise en œuvre pour renforcer leur efficacité.
Hermitage Plaza viendra avec beaucoup d'intérêt de l'architecture et de l'innovation. Tour Hermitage Plaza, un environnement exemple pour la réalité augmentée et l'interaction portable?
Il y aura beaucoup de technologie pour vivre dans le lieu. Les gens vont être intégrés dans un monde des télécommunications mobiles, ils recevront de l'aide pour se déplacer les installations, mais aussi tous les magasins seront faire le marketing et iront après le client avec les nouvelles technologies.
Vous aurez votre profil de nuage, en quelque lieu. Vous serez dans Google, vous serez dans la base de données des magasins prêts à vous vendre quelque chose. Dans le confort de votre maison, que ce soit dans un étage supérieur à Hermitage Plaza ou un autre quartier, en utilisant votre tablette, vous pourrez regarder une montre-bracelet, une chaussure, une robe, un pantalon, une chemise ou un livre. Qui sera suivi, et en utilisant le concept de omnicanal, le magasin vous identifier avec votre goût dans le point de canal suivant.
Cette vidéo montre une vue de l'Hermitage Plaza, avec une certaine touche de réalité augmentée.
Dans ce même endroit, vous pouvez voir beaucoup de la réalité augmentée, avec des détails historiques ou touristiques, mais aussi à des fins commerciaux. Les magasins seront après.
Paris met son territoire à la disposition de plus de 40 projets expérimentaux, testés pour une durée de 6 mois à un an, par les entreprises qui ont répondu à son appel à projets pour un mobilier urbain intelligent. Découvrez nAutreville, le panneau interactif translucide installé en 2012 squaredu Temple (3e) à Paris. Source: http://www.dailymotion.com/video/xpvk9u_mobilier-urbain-intelligent-le-panneau-a-realite-augmentee_tech
Google verre et des technologies similaires seront communs. Vous verrez connecté au cloud, vous donner des instructions liées au nuage.
Google a annoncé un partenariat avec le groupe italien Luxottica, propriétaire de la marque Ray-Ban. Les lunettes de réalité augmentée fabriquées par Google seront-elles bientôt design en plus d'être technologiques ? Google s'est allié au fabricant de montures de luxe italien Luxottica, propriétaire, entre autres, des marques Ray-Ban et Oakley. Ces premières lunettes pourraient être commercialisées dès 2015, a indiqué le patron de l'entreprise italienne, Andrea Guerra, dans une interview au quotidien italien La Repubblica. L'alliance entre les deux entreprises "unit l'une des firmes à la pointe de l'innovation high-tech avec une des plus belles entités dans le domaine du design, de la créativité et de la sensibilité aux besoins des consommateurs", s'est-il enthousiasmé. Source: http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/video-des-google-glass-ray-ban-en-2015-25-03-2014-1805610_47.php
Mais aussi votre smartphone vous apportera beaucoup de fonctionnalités. Par exemple, les communications en champ proche. Vous pouvez interagir non seulement avec d'autres smartphones, mais aussi avec les périphériques. Vous pouvez configurer votre intérêt, vous pouvez acheter, mais ils seront également reliés à votre profil de nuage. Vous serez traqué.
Une autre technologie, la nouvelle énergie faible bluetooth, avec ibeacons, aidera boutiques de vous envoyer des messages et d'interagir avec vous.
Et tout sera relié, quoi que vous fassiez, où que vous soyez.
Alors, pourriez-vous imaginer Hermitage Plaza environnement sans ces technologies?
Il ya eu des progrès en Europe en ce qui concerne la confidentialité des données. Serait-il assez de toutes ces technologies?
Nous n'avons pas parlé du GPS. Pourriez-vous imaginer se déplacer avec le GPS éteint? Son't vous pensez que vous ne serez pas traqué de toute façon?
Cependant, vos lunettes connectées au cloud, et vous faire interactions avec eux à travers votre voix, sera un premier niveau de l'intégration de votre cerveau avec la vôtre ou un autre cerveau informatisé. Ce sera un exemple de scénario pour l'augmentation humaine.
L'objet devaitêtreaucentrede toutes les attentions, mercredi 4 septembre, lors de la première journée (réservée à la presse) de l'IFA, la grande messe de l'électronique grand public, qui a lieu tous les ans, à Berlin, à la rentrée.
Très attendu, commenté, parfois disséqué alors qu'il n'a encore jamais été vu... Lui, ce n'est pas le successeur de l'iPhone,Applene daignant jamaismontrerle bout de son nez à ce genre d'événement. Non, lui, c'est la "smartwatch" de la société sud-coréenneSamsung.
Il s'agit d'une montre connectée et "intelligente" qui devraitpermettreà son propriétaire devérifierses appels, ses courriels ousesSMS en regardant simplement son poignet, grâce à un lien permanent avec son smartphone.
Le concept n'est certes pas nouveau : le groupe LG ou encoreSonyont déjà lancé des produits similaires, en 2009 pour le premier, et 2012 pour le second, sansrencontrerpour autant un énorme succès.
La nouveauté, cette fois, réside plutôt dans le fait que des mastodontes des nouvellestechnologies, producteurs de blockbusters en série, se lancent à leur tour sur ce marché : outre Samsung, des rumeurs persistantes prêtent à Apple le très prochain lancement d'une montre connectée. LeWall Street Journalaurait même obtenu des preuves de la fabrication de ce tout nouveau produit àTaïwan.
Si les deux titans se lancent sur ce marché balbutiant, c'est qu'ils ne veulent pasraterce que certains analystes prédisent comme étant la prochaine révolution : celle des"wearable technologies","les technologies qu'on porte sur soi".
Derrière ce nom singulier se cache une série de produits du quotidien - montres, bracelets, lunettes, vêtements intelligents ou encore tatouages et autres lentilles de contact -, capables de seconnecterà Internet, à un ordinateur ou à un smartphone, pourcapterdes données ou enémettre.
Certes, ce marché est encore à l'état embryonnaire. Mais, selon l'institut IDC, les consommateurs posséderont en moyenne 3,5 terminaux connectés de ce type d'ici à 2020.
D'ailleurs, selon une étude menée parSarah RotmanEpps, du cabinet Forrester, 6 % des adultes américains possèdent déjà un objet de ce type et 17 % souhaitent enacheterun dans le futur. Ce marché devrait donc, selon les analystes,représenterplusieurs milliards de dollars.
"LE POTENTIEL EST ÉNORME"
"Les technologies "wearable" sont sur le point dedevenirla prochaine grande révolution, estime Crawford Del Prete, du cabinet IDC.Certes, elles existaient plus ou moins déjà, mais aujourd'hui, nous assistons au passage d'un marché très spécialisé à quelque chose de plus global, qui pourraittouchertout le monde", précise-t-il.
"Beaucoup de consommateurs sont en quête d'un accessoire qui puisseprolongerl'expérience du smartphone. Par ailleurs, on commence à s'habituerà ce que les objets qui nous entourent soient intelligents",ajoute M.Del Prete."Le potentiel est énorme, surtout si les grands noms des technologies s'y mettent", confirme pour sa part MmeRotman Epps, de Forrester.
Parmi les géants qui ont pressenti l'arrivée de cette tendance : Google. Le moteur de recherche a étonné tout le monde en lançant en mai 2012 sesGoogleGlass.
Ces lunettes connectées se commandent à la voix et sont capables d'enregistrerdesvidéosou même dediffuserdes informations directement dans notre champ de vision. Le réseausocialFacebook, la plate-forme deblogsTumblr, mais aussi dessociétés stars de l'information, comme CNN ou leNew YorkTimes,ont déjà réalisé des applications spécifiques pour ces lunettes du futur.
UNE OPÉRATION CHIRURGICALE AVEC DES "GOOGLE GLASS" SUR LE NEZ
L'étonnement a d'ailleurs très vite laissé place à l'enthousiasme, quand le public a découvert ce que ces lunettes pouvaientfaire: en juin, un chirurgien espagnol a par exemple pratiqué une opération avec ses Google Glass sur le nez, celle-ci a puêtrediffusée en direct sur le Web, ce qui a permis à des médecins situés à Stanford, en Californie, desuperviserles gestes de leur confrère. Ceux-ci voyaient tout ce que le praticien avait sous les yeux !
Lance Nanek, un développeur indépendant américain, a même créé une application du nom de MedRef, permettant d'avoirdirectement dans les yeux le dossier d'un patient qui se trouve en face devous. De là àimaginerles possibilités pour les professeurs, les scientifiques ou mêmes les touristes qui veulent ensavoirplus sur un monument en même temps qu'ils le visitent, il n'y a qu'un pas.
Pour l'instant, lesGoogle Glassn'ont pas encore été mises en vente et n'ont été distribuées qu'à 2 000 premiers testeurs travaillant dans différents domaines de l'industrie. Elle ne seront disponibles pour le grand public qu'en 2014.
Outre les géants des technologies, une autre industrie s'est emparée du phénomène : lesportet la santé. Si Nike a été l'une des premièresentreprisesàéquiperses chaussures de sport de puces électroniques reliées à un ordinateur, on compte aujourd'hui de plus en plus de start-up qui se positionnent sur le créneau avec succès, comme l'américaine Fitbit, l'autrichienne Runtastic ou encore la française Withings.
"PROLONGEMENT NATUREL DES SMARTPHONES"
Présentes à l'IFA, ces sociétés proposent des bracelets ou des galets connectés àportersur soi en permanence ou durant un exercicephysiquepourcalculerle nombre de pas effectués, les pulsations cardiaques ou encore la qualité du sommeil.
Encore plus étonnant, plusieurs entreprises, comme la canadienne OMsignal, développent des tee-shirts et même des gilets intelligents capables d'envoyerdes informations sur nos battements de cœur ou encore notre respiration.
SelonBenoit Raimbault, directeur marketingFrancechez Fitbit, tout cela a été en grande partie rendu possible par l'explosion du marché du mobile intelligent :"Ces applications sont le prolongement naturel des smartphones, explique-t-il.Avec leur développement, on a pucréerde véritables écosystèmes,proposerdes applications pouranalyserles informations etaccompagnerles usages."
Cette analyse est partagée par MmeRotman Epps, de Forrester :"Les smartphones ont considérablement facilité les choses. Dans le passé, si vous vouliezcréerune application de la sorte, il fallait lasynchroniseravec un ordinateur,créerunlogicielspécial, alors qu'aujourd'hui il suffit d'une connexion bluetooth pour selancer."
Sanscompterqu'avec le développement des téléphones intelligents, les "MEMS" - ces semi-conducteurs qui permettent decapternotamment les données comme l'altitude, la météo, l'accélération et plus encore - ont vu leurs prixchuterde moitié.
PROBLÈMES DE CONFIDENTIALITÉ ET DE VIE PRIVÉE
"On en fabrique plus, ce qui baisse mécaniquement les prix grâce aux économies d'échelles, préciseThierry Tingaud, directeur France deSTMicroelectronics, premier producteur mondial de MEMS.Nous sommes rentrés dans les "wearable technologies" il y a deux ans, Fitbit et Runtastic sont équipés par nous."
Mais difficile dedirepour le moment qui seront les grands gagnants de cette révolution. Pour MmeRotman Epps, il n'est pas évident que ce soit les grands noms des technologies."Les "wearable" pourraient sedévelopperde manière très large, on pourraitavoirainsi des bijoux connectés et les marques deluxecomme Prada ou encore L'Oréal pourraient setaillerune belle part du gâteau", estime l'analyste.
Certains commentateurs ont d'ailleurs vu l'arrivée, en juin, chez Apple de l'ex-patron d'Yves SaintLaurent,Paul Deneve, comme un signe que la firme à la pomme travaillait intensément au design de sa future montre.
"Les géants comme Apple et Samsung vont évidemmentchangerla donne et ont le potentiel pourvendredes millions d'objets de ce type, prédit MmeRotman Epps.En revanche, les grands du PC comme Dell ou HP sont déjà très en retard, et ceux-là ne pourront peut-être jamais serattraper."
Reste àréglerles problèmes de confidentialité et devie privée, peut-être l'un des plus grands freins potentiels au développement des"wearable technologies".Mais c'est déjà un autre sujet...
Technologies futuristes qui pourraient être incorporées dans les aéronefs militaires et civils de 2040
Les scientifiques et les ingénieurs de BAE Systems ont développé des concepts pour les technologies futuristes qui pourraient être incorporées dans les aéronefs militaires et civils de 2040 ou plus tôt:
Un drone de sauvetage peut être imprimé de façon personnalisée, et sur la volée par une imprimante 3D à bord d'un aéronef (crédit: BAE Systems)
3D imprimantes si avancés qu'ils pourraient imprimer drones lors d'une mission;
Pièces d'aéronefs qui peuvent se guérir en quelques minutes;
Un nouveau type d'avion de longue portée qui se divise en un certain nombre de petits aéronefs quand il atteint sa destination;
Une arme à énergie dirigée qui pourraient engager des missiles à la vitesse de la lumière, de les détruire et de protéger les personnes ci-dessous.
Les experts de l'équipe de recherche et développement de BAE Systems à Warton travaillent avec les plus grands penseurs de l'aviation du Royaume-Uni dans les universités, le gouvernement et toute une gamme d'entreprises de prévoir et d'explorer comment l'ingénierie de l'avion pourrait évoluer.
Selon le World Resources Institute, la demande pour l'eau potable dans les marchés émergents du monde devrait augmenter de 50% au cours des 15 prochaines années, et les analystes estiment que la demande en eau en Inde seul doublera au cours des 20 prochaines années. La demande dans les marchés développés devrait croître de 15% en 2027. Un autre rapport de recherche cite que la demande en eau en Chine va croître de 63% d'ici à 2030. Enfin, les analystes de Pike Research estiment que l'investissement cumulatif dans de nouvelles usines de dessalement sera s'élèveraient à 87,8 milliards de dollars 2010 2016.
Demande d'eau potable dans les marchés développés devrait croître de 15% en 2027.
Les Finances de l'ERI
Bien que les projections pour l'industrie peuvent être favorables, la récession actuelle et la crise du crédit continuent d'affecter plantes build-out. Récupération d'énergie, (Nasdaq: ERII) un fournisseur d'échangeurs de pression (PX) pour l'industrie de dessalement, a vu les revenus du 1er trimestre ont chuté d'un massif 54% sur l'année à 4,76 millions de dollars. Malgré les mesures de réduction des coûts mises en place, les pertes ont continué à approfondir. La société a enregistré une perte nette de 0,09 $ par action, comparativement à une perte nette de 0,03 $ il ya un an.
Année à ce jour, la société a racheté 1.200.000 parts pour 2,6 M $.
ERII espère de mettre fin à l'année en cours avec une croissance du chiffre d'affaires de 40% par rapport à l'année précédente que les travaux sur les mégaprojets commence à partir du trimestre en cours.
Expansion internationale de l'ERI
ERI continue d'étendre sa présence géographique dans les marchés émergents. Dans le Moyen-Orient, il a annoncé la victoire récente d'une usine de dessalement à grande échelle dans les Émirats arabes unis. L'usine devrait produire une capacité journalière de 68.000 mètres cubes, soit 18.000.000 gallons. Au dernier trimestre, l'ERI a également remporté un contrat avec les forces armées égyptiennes de fournir leurs échangeurs de PX pour la plus grande usine de dessalement en Égypte. L'usine, située à Marsa Matrouh, à proximité de la Libye, sera construit avec une capacité de 24.000 mètres cubes ou 5,5 millions de gallons par jour.
La Chine est également un marché en forte croissance pour les usines de dessalement de l'eau. Selon l'agence de planification économique, la Commission nationale pour le développement et la réforme (NDRC), les planificateurs de la Chine ont établi un objectif de tripler la capacité de dessalement du pays en 2015 à plus de deux millions de mètres cubes, soit 528000000000 gallons d'eau par jour. Récemment, l'ERI a remporté un contrat pour une centrale électrique dans la province de Shandong, en Chine. L'usine est prévu pour avoir une capacité de production journalière de 16 000 mètres cubes, ou de deux millions de litres d'approvisionnement en eau. Le marché de la Chine à devenir une source de revenus majeure pour l'ERI au cours des trois prochaines années.
En outre, l'ERI se diversifie dans le secteur du pétrole et du gaz. Bien qu'ils sont surtout connus pour leurs PX de l'eau, ils sont maintenant également en expansion connaissance du marché et de l'empreinte dans les solutions de traitement du gaz. ERI offre maintenant des outils qui aident les usines à gaz améliorer l'efficacité de la production de plus de 75% et appellent à un investissement moindre en termes de dépenses d'investissement et d'exploitation. Les revenus du segment du pétrole et du gaz n'ont pas commencé à tirer dans l'instant, mais l'ERI prévoit ce canal de revenus pour offrir une croissance significative et la diversification des risques contre fluctuations des marchés financiers et des problèmes de crédit telle qu'elle est vécue récemment.
Les actions de l'ERI se négocie à $ 2,11, avec une capitalisation boursière de $ 110,370,000 de marché. C'est à un maximum de 52 semaines de 3,50 $ en Octobre 2011. L'long terme a toujours l'air très prometteur avec l'ERI, même si elle a été un stock très difficile de rester patient avec.
Jardin locale est un grand bâtiment transparent nouvellement construit deux étages de 6000 pieds carrés situé sur le toit d'un garage de stationnement à Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. Il est équipé d'un système innovant de plus en plus de plate-forme qui produit des micro-ingrédients de la salade verte, les épinards, et le bébé Kales.
La ferme verticale aidera à nourrir le monde au XXIe siècle.
Imaginez la production dans une zone de 50 'x 75' autant de nourriture que d'une ferme de 16 acres.
Présentation VertiCrop ™, une méthode de culture de propriété sélectionnée en 2009 par TIME Magazine comme l'une des plus grandes inventions du monde.
Cette technologie brevetée a été développée pour produire de la nourriture naturelle en milieu urbain animé et représente un changement de paradigme dans l'agriculture et la production alimentaire.
Fournir jusqu'à 20 fois le rendement des cultures normales, tout en utilisant seulement 8% de l'eau nécessaire à l'agriculture en général des sols.
L'utilisation d'une configuration de plateau unique, suspendu sur un système de convoyeur en mouvement, VertiCrop ™ offre une exposition optimale à la lumière naturelle ou artificielle avec des éléments nutritifs précisément mesurées pour chaque plante. Conçu pour évoluer en bonne santé, les légumes verts feuillus en boucle fermée et des environnements contrôlés, VertiCrop ™ élimine le besoin d'herbicides et de pesticides nocifs, tout en maximisant le goût, la nutrition et la valeur alimentaire.
De plus en plus des aliments de meilleure qualité en utilisant moins d'énergie et de ressources? Fait sens pour nous.
VertiCrop ™ offre une méthode éprouvée, rentable alternative à la production typique de la culture.
Conçu pour évoluer dans n'importe quel climat et avec un niveau exceptionnellement faible encombrement dans les milieux urbains, VertiCrop ™ utilise seulement une fraction des ressources nécessaires à l'agriculture sur le terrain, tout en générant des rendements nettement plus élevés.
Un plateau de plantation VertiCrop
Grandir avec VertiCrop ™
Les rendements sont d'environ 20 fois plus élevé que le volume des cultures de plein champ de production normale
VertiCrop ™ ne nécessite que 8% de la consommation d'eau normale utilisée pour irriguer les cultures de plein champ
Travaux sur des terres non arables et à proximité des grands marchés ou des centres urbains
Ne nécessite pas l'utilisation d'herbicides ou de pesticides nocifs
Capable de croître de plus de 50 variétés de légumes à feuilles vertes
Réduit considérablement la distance de transport, réduisant ainsi le coût et l'empreinte carbone
Fournit plus de produits de qualité avec une plus grande valeur nutritive et une durée de vie plus longue
Des niveaux élevés de sécurité alimentaire en raison de processus de croissance clos
Scalable de petite à très grande opération de la production alimentaire
De plus en plus des aliments de meilleure qualité en utilisant moins d'énergie et de ressources? Fait sens pour nous.
VertiCrop ™ offre une méthode éprouvée, rentable alternative à la production typique de la culture.
Conçu pour évoluer dans n'importe quel climat et avec un niveau exceptionnellement faible encombrement dans les milieux urbains, VertiCrop ™ utilise seulement une fraction des ressources nécessaires à l'agriculture sur le terrain, tout en générant des rendements nettement plus élevés.
Un plateau de plantation VertiCrop
Grandir avec VertiCrop ™
Les rendements sont d'environ 20 fois plus élevé que le volume des cultures de plein champ de production normale
VertiCrop ™ ne nécessite que 8% de la consommation d'eau normale utilisée pour irriguer les cultures de plein champ
Travaux sur des terres non arables et à proximité des grands marchés ou des centres urbains
Ne nécessite pas l'utilisation d'herbicides ou de pesticides nocifs
Capable de croître de plus de 50 variétés de légumes à feuilles vertes
Réduit considérablement la distance de transport, réduisant ainsi le coût et l'empreinte carbone
Fournit plus de produits de qualité avec une plus grande valeur nutritive et une durée de vie plus longue
Des niveaux élevés de sécurité alimentaire en raison de processus de croissance clos
Scalable de petite à très grande opération de la production alimentaire
Les tours mixtes mélangeant bureaux et logements sont fréquentes à l’étranger. En France, celle d’Hermitage, située à La Défense, suscite surtout l’intérêt d’investisseurs étrangers. Les français, eux, sont plus sceptiques.
Première de son genre en France, la tour mixte de l’Hermitage Plaza, abritant à la fois des bureaux, des logements, un hôtel et des commerces avance... à pas comptés.« Le permis de construire n’est pas encore purgé de tous ses recours, mais ils sont en cours de traitement,indique le vice-président d’Hermitage, Gilles Soulié.S’ils sont traités d’ici la fin de l’année, nous espérons de commencer la démolition des bâtiments existants en novembre 2014 et mettre la tour en chantier au printemps 2015 , ce qui impliquerait une livraison début 2019».
Le projet représente un investissement de 2,4 milliards d’euros, devant être financé en partie par la vente en l’état futur d’achèvement des logements aux particuliers. Ces derniers représentent un peu plus de 50% du total de l’investissement pour 60% des 270.000 m2 prévus soit 162.000 m2. Outre le produit de leur vente, 1,2 à 1,5 milliard d’euros proviendra d’emprunts bancaires. Sberbank a donné son accord de principe et Deutsche Bank a rejoint le projet ainsi que le Crédit Suisse, deux banques avec lesquelles« nous discutons de l’optimisation du montage financier », déclare Gilles Soulié. Selon le schéma actuel, les actionnaires (Emin Iskenderov et des partenaires russes) financeront donc finalement assez peu par fonds propres.
Deux tours
Le projet est en fait un complexe composé de deux tours (320 mètre de haut, respectivement 85 et 86 étages) reliées par un bâtiment bas. Outre des logements, il comprendra 35.000 m2 de bureaux, un hôtel de 40.000 m2 et un centre commercial. Rien ne sera commercialisable avant la mise en chantier du projet. Mais des contacts avec les investisseurs, il ressort que le profil de ceux ayant manifesté des marques d’intérêt diffère selon la nature de l’actif.« Nous conserverons le centre commercial,maisil pourrait y avoir un investisseur minoritaire et ceux intéressés comprennent plusieurs Français ainsi qu’un Chinois », précise Gilles Soulié.
Les chinois, d’une manière générale, n’investissent pas encore en France, mais un fonds chinois était déjà en lice pour le centre commercial de Beaugrenelle, avant de se retirer. L’hôtel, un cinq étoiles, a vocation, lui, à être cédé et a suscité l’intérêt d’un investisseur coréen. « Nous avons beaucoup travaillé avec Four Seasons, mais avons également lancé un appel d’offre international sur invitation, auxquels tous ont répondu, avec des concepts différents, que nous étudions, poursuit-il.Les bureaux, eux, seront cédés à un, ou au maximum deux, investisseurs mais des discussions sont prématurées : sur ce type d’actif, les acquisitions ne s’effectuent pas aussi longtemps avant la livraison ».
Problème culturel
Au final, les marques d’intérêt proviennent davantage d’Asiatiques, d’Indiens et de Moyen-Orientaux que de Français. Dès son origine, le projet d’Hermitage a suscité la défiance en France et pas seulement du fait du fait de son origine russe et des aléas de son financement. Le concept même de tour mixte a même probablement joué davantage encore, malgré la renommée de son architecte, Norman Foster.« Il existe en France un problème culturel, le mélange des bureaux et des logements au sein d’une tour n’a jamais séduit et le cadre juridique est inadapté, commente l’architecte Jean-Paul Viguier. Pourtant, la mixité est très fréquente à l’étranger.Et c’est un modèle financier qui plaît aux investisseurs, du fait de la diversification des risques ».
Le cadre juridique français apparaît en fait moyennement adapté à la mixité mais pas incompatible, selon Hermitage. Il existe par exemple dans l’hexagone des règles de sécurité (incendie etc) différentes entre les locaux tertiaires et les logements, mais« c’est parfaitement gérable et géré, autrement nous n’aurions jamais obtenu le permis de construire !commente Gilles Soulié.La mixité est gérée en compartimentant la copropriété en « volumes », chacun correspondant à un type d’actif (logements, bureaux, etc) ayant son propre syndic, avec une association syndicale libre, ce qui permet de cantonner les charges et les problématiques aux types d’occupants auxquels elles sont liées ».Par ailleurs, les bâtiments sont segmentés, les bureaux occupant la partie basse pour éviter les règles régissant l’accueil du public dans la partie résidentielle.
Vent ascendant
Résultat : les logements ne démarrent qu’au 28ème étage, soit 100 mètres de haut...et contrairement à la tour de bureaux Majunga (195 mètres), dotée à tous les étages d’ouvertures sur l’extérieur (fenêtres ouvrantes et loggias), les logements d’Hermitage« n’auront pas de balcons, car en très grande hauteur, à partir de 150 mètres, il existe un effet de vent ascendant, explique Gilles Soulié.D’ailleurs, à Londres, la tour mixte Shard (300 mètres) conçue par Renzo Piano avait prévu des balcons à ses logements, sous forme de jardins intérieurs, et a dû y renoncer ». Reste à voir si le concept de logements en très grande hauteur séduira les particuliers. Ils sont cruciaux pour le modèle économique du projet. Hermitage cible a priori les « moyennes fortunes » françaises pour des pieds à terre (de 200 m2 quand même...), et, là encore, les étrangers. Notamment ceux comme les russes préférant la modernité et la vue sur la Seine aux quartiers historiques comme le Marais dont raffolent les Italiens.